Japan Expo 2014 - Les Aventures de Melo (3) Le vendredi

/ Dossier - écrit par Meloku et OuRs256, le 25/07/2014

Troisième jour et un peu de repos pour Melo qui commence à ressentir la difficulté du festival (et qui cède à la tentation du football).

Après un jeudi chargé, je décide de ne passer que la matinée du vendredi à Japan Expo. Je ne suis pas tant fatigué que cela, mais je souhaite me préserver pour l’Enfer qu’allait être le samedi (et puis il y avait France – Allemagne l’après-midi)(un match bien pourri d’ailleurs)(surtout parce que la France a perdu). J’arrive le vendredi, pépère, et après un petit tour dans le salon je me rends à l’interview de l’adorable Shiitake. Je profite de cet entretien pour inviter l’illustratrice à faire un tour chez moi, au TGS, dans la région toulousaine (elle avait l’air gênée)(mais moi non). Ensuite je rencontre deux twittos sympas : Captainafets (qui se faisait chier, je balance) et Dende Snail (qui chassait les dédicaces)(et que j’avais déjà croisé la veille de Japan Expo, on avait mangé le nouvel hamburger du Quick ensemble, celui à La vache qui rit, à 2,5 euros)(les détails ont leur importance). Je les quitte comme un malpropre pour filer à la dédicace de Yusuke Nakamura (à laquelle je recroise Dende)(je suis dans les premiers, elle est dans les derniers)(on a la place qu’on mérite). Je demande à Yusuke Nakamura de me dessiner Meiko de Solanin (comme il l’avait dessiné sur l’illustration de la pochette du single du film du manga d’Inio Asano), mais il ne sait plus comment la dessiner. Je me rabats donc sur Akashi de The Tatami Galaxy (ça c’est du plan b de la mort qui tue).


Ah tiens, les doigts de Melo.

Ensuite, je rejoins mon ourson en salle press, avec la volonté de l’aider à préparer son interview de l’auteure de Cagaster (je voulais la rencontrer moi aussi…), mais là, stupeur (et toujours pas de tremblement), le directeur éditorial de Glénat Manga envoie un sms à Ours pour lui indiquer que Kachou Hashimoto a eu un accident et qu’elle a dû être rapatriée au Japon (on en profite pour lui souhaiter un bon rétablissement, en souhaitant la revoir bientôt en France). Mon ourson me montre ses achats, et je flash sur l’ex-libris (ou shikishi pour faire mec qui est dans le coup mais qui ne sait pas vraiment ce qu’est un shikishi parce qu’il s’agit du carton et non du dessin) d’All you need is kill. Pour l’avoir il fallait acheter les deux tomes de la série. Et, bien sûr, j’avais pris le premier avant de venir à Japan Expo, histoire d’avoir de la lecture dans le train. Crotte. C’est à instant que mon ourson, de son cerveau malade, monte un stratagème qui consistait à me prêter le premier tome de la série pour que j’aille acheter le second en disant que je venais d’acheter le premier, afin de récupérer le shikishi. Suite à cet acte diabolique, je quitte Japan Expo. Sans avoir assisté au live de Litchi☆Hikari Club du vendredi après-midi (fatigue, football, vous connaissez la chanson).


Du monde à Mario Kart 8.