Japan Expo 2014 - Les Aventures de Melo (2) Le jeudi

/ Dossier - écrit par Meloku et OuRs256, le 24/07/2014

Deuxième jour et nouvelles aventures pour un Melo qui découvre les affres de Japex !

Nous sommes jeudi. Dès mon arrivée je vais à la rencontre d’Ours256 (que je vais appeler mon ourson pour faire plus court)(en fait c’est plus le long, mais j’aime bien). On se rencontre en salle press (c’est comme une salle presse, mais avec un e en moins)(et avec la clim’). Il m’explique ce que je savais déjà sur Japan Expo, mais je l’écoute pour lui faire plaisir. Bref, comme je vous l’ai dit dans la partie consacrée au mercredi, je fonce vers le stand Soleil pour récupérer le badge Dorohedoro, histoire d’avoir la classe durant le reste de Japan Expo. Ensuite je me rends au stand Delcourt (à côté donc) pour échanger le premiers tome de Maka-Maka que j’avais acheté la veille (et qui était bien abîmé sous la couverture). Et oui, le petit coquin que je suis vous avez caché qu’il avait (r)acheté l’intégrale de Maka-Maka le mercredi, juste avant de rentrer, hihi.


En parlant de coquinerie...

Bref, je rejoins mon petit cousin et sa copine au stand Nintendo, côté Animal Crossing : New Leaf, forcément. On vadrouille une bonne demie heure au milieu des tonnes de contrefaçons présentes dans Japan Expo. Youhou. Je dois les quitter assez vite car j’ai un rendez-vous avec Nobi Nobi à midi (vous comprendrez mieux dans le paragraphe du vendredi)(ça c’est du teasing ou je ne m’y connais pas). D’ailleurs si mon cousin me lit, coucou déjà, et encore désolé de ne pas avoir pu te recroiser. Donc, en chemin pour Nobi Nobi, je croise Kubo et sa bande de Mangacast. Après un échange rapide de quelques politesses/méchancetés, je reprends ma route pour Nobi Nobi. Et là, nouvelle péripétie : je tombe nez à nez avec l’édition collector du CD qu’a sorti Naoki Urasawa pour 20th Century Boys. Ni un ni deux (ni trois d’ailleurs), je l’achète, et je récolte de jolies cartes du maître pour à peine deux euros de plus. Youhou. Arrivé au stand de Nobi Nobi, je retrouve mon ourson, et on va préparer des interviews ensemble. On est allé interviewer Christel Hoolans, la directrice éditoriale de Kana, et j’ai posé plein de questions sur Inio Asano (l’interview sera en ligne sur Krinein).


Ours256 en pleine interview de Nikki Asada.

Pendant que mon ourson se rend à l’interview de Nikki Asada (vous ne savez pas qui c’est, bienvenue au club) et je prends mes cliques et mes claques pour aller à mon entretien avec Yusuke Nakamura, un artiste de génie. Comme j’ai décroché l’interview avec mon anglais bancal, j’avais peur que les questions/réponses se fassent dans la langue de mon ourson (oui, parce que, pour ceux qui ne le savent pas, il est prof en Angleterre). Sur le chemin de l’entretien, je croise Elsior (si ça c’est pas le destin ?), et ses capacités en anglais étant rassurantes, je décide de l’embarquer avec moi. Comme on a un peu de temps, j’achète un artbook de Yusuke Nakamura, sur le stand hors de prix, et j’obtiens un ticket pour sa séance de dédicace du lendemain (détail qui aura son importance, suivez bien). Toujours en attendant l’interview (Yusuke Nakamura se fait attendre), je croise mon ourson qui m’indique une séance de dédicace de Kamui Fujiwara à la Défense dans l’après-midi. En présence d’Elsior, je me rends à l’interview de Yusuke Nakamura, et croise des fans, super-sympas, d’Asian Kung-Fu Generation qui m’accompagnent à l’entretien. Je passe trois gros quarts d’heure avec le monsieur, avant de filer rapidement à la Défense pour rencontrer Kamui Fujiwara.


En attendant Yusuke Nakamura.

Je quitte Yusuke Nakamura tellement vite que je n’ai pas le temps de demander de dédicace (mais heureusement que j’ai mon ticket pour le lendemain) et que j’oublie ma glacière (merci à Elsior pour me l’avoir déposé en salle press). Donc Japan Expo, c’est terminé pour ce jeudi, mais j’ai encore un rendez-vous à Cultura. Je ne connais pas Paris, je suis tout seul, le portable de mon ourson n’a pas plus de batterie, stress dans le RER B (surtout que je me retrouve bloqué dedans, pour le second jour consécutif). Tant bien que mal, j’arrive à Cultura pour la séance de dédicace de Kamui Fujiwara. Une petite queue cette fois, mais de qualité (outre Ours, se trouvait Koiwai de Manga-News)(et il est vraiment sympa ce Koiwai)(en plus cette fois il avait un t-shirt Bonne nuit Punpun)(le meilleur manga du monde quoi). Je suis reparti avec un beau dessin de l’auteur, j’ai passé une journée géniale, mais je n’ai pas arrêté de courir.