Mon été avec… Glénat.

/ Critique - écrit par OuRs256, le 05/09/2014

L'idée : Vous parler de ce que j’ai lu cet été de manière rapide et concise mais aussi de vous donner quelques guides pour vos lectures à venir tout en discernant coup de cœur et coup de gueule. Trois rubriques (je les assume et vous pouvez dire que je n’ai absolument aucune créativité en termes de nomenclature): le très bon, le « mleh » et le très pas bon.

L’été, dans la croyance populaire, c’est avant tout une période de relaxation. Pour tous ceux qui fréquentent le milieu du manga, c’est surtout Japan Expo début juillet qui pompe un maximum d’énergie. Eh oui, même si vous avez déjà eu quelques articles sur Krinein,  c’est loin d’être fini et de nombreuses interviews devraient faire leurs apparitions dans les mois qui viennent. En attendant, il faut quand même un endroit pour parler des lectures d’été. Eh oui, même si votre serviteur s’est un peu baladé sur la Route 66 (à peine trois semaines, ne me jugez pas !), j’ai quand même pris le temps de lire ma petite dose de manga. Pour les séries terminées et courtes, vous aurez, comme d’habitude, le droit à une critique complète mais pour les tomes, j’ai pensé qu’il était plus intelligent (mais aussi économique, pratique) de faire un petit article spécial été par éditeur (ceux qui diront que c’est juste pour rattraper le retard faramineux accumulé pendant que je me la coulais douce sur les routes américaines sont de fieffés menteurs !!!). Bon allez, on attaque tout de suite avec la première rubrique.

   

Le très bon.

Ici, vous n’aurez que la crème de la crème ou du moins ce qui m’a bien fait vibrer et que j’estime nécessaire à votre vie de mangaphile.

Mon été avec… Glénat.

Chez Glénat, il y a une série qui me tient particulièrement à cœur et c’est Cyborg 009 dont le volume 16 vient de sortir après plusieurs mois d’attente (presque un an en fait). Est-ce que ça valait le coup ? Oh que oui. Ishinomori nous entraîne une fois de plus dans des aventures plu humaines que robotiques avec des dilemmes qui amènent le lecteur dans des réflexions philosophiques comme seul ce maître du manga sait le faire. Les amateurs d’action ne seront pas pour autant en berne car il parvient à inclure une quantité non-négligeable d’explosions dans un récit poignant.

Comment ne pas citer le tome trente-et-un de DragonBall avec l’arrivée de Boo qui semble être un ennemi créé pour donner du fil à retordre à nos héros. Entre le sacrifice assez inattendu de l’un des personnages, l’issue farfelue du tournoi des arts martiaux et les démonstrations de puissances des protagonistes, on tient un excellent tome de la série fleuve de Toriyama (réédition qui touche à sa fin soit dit en passant puisqu’il ne reste plus que trois volumes).

Autre très bonne surprise, le troisième tome de La Tour fantôme accélère un peu la cadence. La relation entre Taïchi et Tetsuo en particulier évolue très rapidement et même si on sent toujours un certain malaise (créé par l’ambiance aux petits oignons instaurée par le dessin inquiétant de Taro Nogizaka – que les fans de Kei Sanbe ne pourront pas s’empêcher d’apprécier), les deux jeunes gens ne semblent pas faire grand-chose pour en sortir. La bonne nouvelle, c’est que l’un des éléments les plus ambigus du titre est en phase d’éclaircissement.

   

Le « Mleh ».

Derrière ce nom un peu barbare se cache (vous l’aurez sûrement deviné) le moyen et tout ce qui ne m’a pas particulièrement titillé même si la lecture n’était pas mauvaise.

Mon été avec… Glénat.

Pour commencer, une petite vieillerie puisque j’ai lu Hotel de Boichi. Poussée par la mise en avant de l’auteur à Japan Expo qui faisait la part belle à la sortie du vingtième tome de Sun-Ken Rock mais aussi à celle du premier opus de Wallman (deux titres dont je ne manquerais pas de reparler sous peu), je me suis  laissé tenter par ce one-shot paru il y a quelques années chez nous. Force est de constater que j’en attendais peut-être un peu trop de Boichi après Wallman et j’ai trouvé ce recueil de nouvelles un peu fade. On sent un certain manque d’ambition dans la plupart d’entre elles malgré l’envie exprimée d’aborder des thèmes plus philosophiques ainsi que de limiter le fan service et ce, de manière impressionnante (on parle quand même d’un homme qui avoue ouvertement avoir commencé ce métier pour dessiner de jolies formes féminines). Ni bon ni mauvais, le titre reste quand même à voir pour  les fans qui auraient envie d’un Boichi différent.

 

On passe tout de suite au vin avec le trente-troisième tome des Gouttes de Dieu (sur un total de 44 même s’il manque les fameuses gouttes de Dieu). Toujours à la recherche du dixième apôtre, la lutte acharnée que se livrent Shizuku et Tomine est vraiment singulière. La façon dont chacun arrive à sa propre réponse ne manquera jamais de m’étonner. Alors que Shizuku trouve souvent son salut via les rencontres qu’il fait, Tomine fait les choses à l’opposé en s’isolant de plus en plus. Les auteurs insistent d’ailleurs autant sur la solitude qui entoure ce dernier que sur la philosophie de Yutaka Kanzaki (le père de Shizuku) qui prônait plutôt la consommation du vin comme un plaisir partagé (peut-être un élément de plus qui fait que Tomine ne peut pas vraiment gagner la partie). Comme d’habitude, c’est assez long entre chaque apôtre et on aimerait quand même que les auteurs accélèrent certains passages assez lourds et pas forcément très motivants pour le lecteur.

 

Au royaume des samouraïs, Kenshin est roi. Le rônin le plus célèbre du monde du manga (avec Miyamoto Musashi) revient pour une raison pas si étonnante que ça : la sortie du film au Japon. L’auteur ne s’en cache pas, il a décidé de reprendre un peu sa série phare uniquement pour la promotion du film. Certains adhéreront, d’autres diront que c’est un opportuniste. En tout cas, c’est comme ça qu’est né Kenshin – Restauration –. Pour ma part, je dirais que cette reprise ne me dérange pas tant que le travail fourni est de qualité. C’est à ce niveau que je commence à douter un petit peu. En tant que grand fan du travail de Watsuki, et en particulier sa façon d’encrer et de présentation les attaques finales, je dois avouer que c’est un vrai plaisir pour mes yeux. Les combats sont vraiment bien mis en scène et on sent même qu’il a voulu donner un petit côté cinématographique à ses affrontements avec des chorégraphies un peu plus soignées que d’ordinaire. Pour l’histoire… Hum… Je comprends le concept qui est de faire une suite sans en faire mais j’ai plus eu l’impression d’un délire de fan qu’autre chose. Un peu dommage quand on connaît le potentiel de l’auteur et de sa série. La bonne nouvelle, c’est qu’il n’y aura que deux tomes donc il n’aura pas le temps de ruiner sa série phare.

 

Même si la fête de la musique avait lieu en juin, le septième volume de Woodstock  est quand même sorti en juillet. La série rock de Glénat semble encore avoir de beaux jours devant elle tant l’auteur à de l’idée. Plus que de la musique, l’auteur va confronter le lecteur avec tout ce qui l’entoure et qui pense « rock’n’roll » pense aux « drugs ». Tout n’est pas rose (eh oui, on est quand même dans un seinen) et Gaku, accompagné de son groupe Charlie, va en faire l’expérience. Même si le jeune garçon ne semble pas vraiment dupe, ses envies de changement sont palpables et il va tout faire pour rabibocher les deux amis séparés par la drogue. Rien de particulier à signaler dans ce tome et c’est principalement pour ça que je l’ai mis dans la catégorie « Mleh ». La routine s’est installée et même s’il y a une petite pause musicale, on sent vraiment un tout petit rythme qui n’est pas particulièrement agréable. Si les premiers volumes donnaient envie d’en voir un peu plus, celui-ci se situe plutôt dans la catégorie « Oh, le prochain arrivera quand il arrivera ». Un peu dommage pour une série qui s’inscrit dans la culture rock.

 

Seul et unique shôjo, je dois avouer que je suis assez mitigé en ce qui concerne cette entrée en matière de Kamikaze Kaito Jeanne. Pourquoi, me direz-vous ? Eh bien d’abord parce que le pitch est juste complètement farfelu ! Voyez vous-même : une jeune japonaise serait la réincarnation de Jeanne d’Arc et combattrait des démons sous l’impulsion d’une force divine. Oui oui, rien que ça ! Ce n’est pas tout, avant de se « battre », elle doit voler (bon ce n’est pas vraiment du vol…) les tableaux en question (on sent une petite touche Cat’s Eyes). Vous n’êtes pas convaincus ? N’ayez crainte, je crois que je ne le suis toujours pas non plus. Cependant, il faut se rendre à l’évidence. Malgré une base complètement aléatoire, Arina Tanemura réussit à faire fonctionner son titre et ce grâce à un trait à l’ancienne qui n’est pas du tout pour me déplaire (c’est mignon… mais pas trop !). On sent cette petite touche des shôjo qui ont  quelques (une dizaine ?) années qui m’a pas mal fait penser à Gals ! de Mihona Fuji (c’est dire s’il est générique aussi…). Pour le moment, j’attends de voir la suite et je dis pourquoi pas !

 

On reste avec de jolies filles avec le deuxième volume de Minimum dans la collection Erotic inaugurée par Glénat il y a quelques temps. Les aventures d’Ito et d’Haru auraient facilement pu se retrouver dans le « très pas bon » de ce mois-ci. Pourquoi ? Tout simplement parce que même en le cherchant, je n’ai pas réussi à trouver l’érotisme en question ! Alors oui, il y a une fille nue de temps en temps (mais ça reste plus rare qu’on ne l’imagine) mais c’est tout. Pour le reste, on dirait plus une comédie romantique lycéenne qu’autre chose. Je ne sais pas si c’est juste la mise en place qui est longue ou autre mais l’interdiction aux moins de 16 ans me paraîtrait presque inutile (public averti, oui quand même, au même titre qu’un Berserk ou un Sun-Ken Rock). Je crois d’ailleurs qu’on voit plus de poitrine dans un tome de la série de Boichi que dans un volume de Minimum, un comble pour ce titre qui se veut fer de lance de la collection. Si j’ai quand même décidé de le laisser dans la catégorie « Mleh », c’est tout simplement pour son graphisme léché et très détaillé. C’est super beau, rien à dire là-dessus. La plastique des jeunes demoiselles est évidemment aux petits oignons mais les décors n’ont absolument rien à leur envier. L’auteur fait preuve d’un sens du détail qui ne me laisse pas indifférent du tout et c’est pour ça que j’attends de voir le troisième tome avant d’être un peu plus méchant.

 

L’autre grosse inconnue de mes vacances, c’est le premier volume de Cagaster par Kachou Hashimoto (qui semble aller mieux depuis son accident pendant Japan Expo). Le titre a tout pour plaire : un univers fouillé et plutôt sympathique à découvrir même s’il y a pas mal de déjà, des personnages secondaires attachants et un début plutôt intrigant. Vous n’avez pas l’impression qu’il manque quelque chose ? Vous aviez deviné, c’est au niveau du personnage principal que le bât blesse : il est complètement apathique. Il ressemble presque à un militaire lambda que l’on verrait dans n’importe quelle guerre mais ni son passé mystérieux ni son comportement ne parviennent à augmenter son capital sympathie. Bon après, il ne fait pas grand-chose pour le soigner non plus : bourru, en manque total de tact et pas franchement enthousiasmant, ce n’est pas le genre de perso qui va plaire au lecteur (ou du moins, pas pour très longtemps). Le mois de septembre sera donc décisif et on verra bien ce que l’auteure va trouver pour garder ses lecteurs intéressés.

 

On va finir la catégorie « Mleh » en beauté avec un titre qui juste là m’a toujours beaucoup plu : Tokyo Ghoul. Avec ce sixième volume, on sent une volonté de l’auteur de faire avancer son histoire avec un mouvement de goules assez important dans le onzième arrondissement et une attaque de masse plutôt bien racontée. Là où je le comprends moins, c’est quand il inclut des chapitres qui ne font qu’étirer le propos, des choses sans réel intérêt et qui ne servent qu’à casser le rythme de son histoire. L’une des raisons qui me poussent à continuer cette série reste principalement le contraste humain/goule que l’auteur prend un malin plaisir à développer. Non content de souligner les différences entre les deux camps, il réussit à dessiner des humains plus « monstrueux » que les goules. Les quelques frissons qui pourraient parvenir jusqu’au lecteur ne viennent pas des créatures de la nuit mais bel et bien de ceux que l’on peut considérer comme nos « semblables ». Sui Ishida tient donc son public en haleine avec une dualité intéressante à suivre et dont on pourra difficilement se lasser.

   

Le très pas bon.

Alors oui, je sais que le nom annonce quelque chose de très mauvais mais ce n’est évidemment pas à prendre au premier degré. Ce sont surtout les titres qui m’ont déçu et dont les tomes n’ont pas spécialement fait avancer l’intrigue. 

Mon été avec… Glénat.

Il n’y a qu’un titre que j’ai réellement trouvé mauvais cet été chez Glénat et c’est Gangsta. Je ne sais pas pourquoi mais je crois que les aventures de Warwick et de Nicolas ne m’intéressent absolument pas. Alors que la série continue d’être mise sur un piédestal par la critique, je pense que je vais arrêter les frais avec ce titre qui se veut créateur d’une atmosphère à l’américaine que je ne retrouve dans aucune de ses cases. Le titre continue de faire dans le sombre, ça il n’y a pas de problème et on reste dans une lecture adulte mais rien d’original (les héros aux passés tragiques et mystérieux… mouais ; la jolie fille au second plan pas clair non plus… si on veut ; l’univers mafieux plus impitoyable que Dallas… OK). Ses personnages filaires  et ses décors plutôt vides (au même niveau que Bleach sauf que là, on ne voit pas vraiment le but esthétique) ne parviennent pas non plus à me convaincre. Bref, vous l’aurez remarqué, je ne porte pas ce titre dans mon cœur et je pense que le cinquième tome devrait sceller son destin chez moi. 

 

Mon autre petite déception du mois (même si elle est moindre), c’est le cinquième tome de Vertical qui perd un peu en intensité par rapport au précédent. Alors que l’auteur commençait enfin à nous pondre des histoires un peu plus longues, il semble se rétracter et nous offrir, une fois de plus, une succession de missions. Alors oui, la dernière nous permet d’en apprendre un peu plus sur le passé de Sanpo (enfin une bonne idée pour rendre le personnage un peu plus sympathique pour le lecteur) mais pour le reste… c’est du vu et revu dans les quatre tomes précédents : morts tragiques en montagnes, sauvetages héroïques et belles preuves d’amitié... On se dit oui « oui… pourquoi pas » mais on continue à penser que le titre gagnerait en intensité avec des histoires qui s’étaleraient sur un voire plusieurs volumes (chose que l’on pensait possible après le volume quatre mais qui semble de moins en moins envisageable…).  

Huitième volume des adaptations des films de Drabonball Z, Broly le super guerrier était l’un de ceux que je préférais quand j’étais plus jeune. L’impression de toute puissance dégagée par le saïyen aux cheveux verts était telle dans la version animée que l’on ne voyait absolument aucune issue au combat. Force est de constater que la version est loin de lui faire honneur. Même le passage où Broly détruit la planète des Shamo est réduit à une sorte de blague qui ne fait rire que ce dernier. Même si c’est un défaut récurrent aux anime comics, on se rend compte que la perte de l’animation fait beaucoup quand il s’agit de transposer un film en « roman-photo ». Sans les petits trucs de mangaka pour exprimer la vitesse et l’impression de grandeur, le tout semble très fade. Dur dur donc de voir son enfance s’écrouler de la sorte…

   

Les résumés éditeurs (par ordre d’apparition).

Il ne serait pas très logique de vous laisser partir sans les résumés éditeurs. Pas la peine de tout lire, il suffit de piocher dans ce qui vous intéresse !

 

Cyborg 009 16 : La Terre entrerait-elle dans une période glaciaire ? Les bouleversements climatiques récents pourraient le laisser penser. Mais en montagne, les habitants racontent que la situation serait plus le fait d’une étrange déesse qui vivrait recluse non loin d’un glacier en mouvement. N’écoutant que leur courage, 006 et le professeur Gilmore s’aventurent dans les hauteurs glaciales de la montagne. Et là, point de déesse. Point de froid d’origine naturelle, mais un nouveau mystère à résoudre !

 

DragonBall 31 : Goku, Gohan et Vegeta affrontent les soldats de Babidi les uns après les autres à l’intérieur de son vaisseau. C’est au tour de Gohan de se battre contre Dabra, le roi des enfers. Mais soudain, celui-ci bat en retraite ! En effet, Babidi a une idée derrière la tête : il prend possession de Vegeta pour le pousser à se battre contre ses amis sans aucune retenue et ainsi récupérer l’énergie nécessaire pour ramener Majin Boo à la vie. Mais en réalité, Vegeta s’est laissé volontairement manipuler car pour lui, pas question de renoncer à son duel contre Goku ! Hélas, sa fierté va provoquer l’irréparable…

 

La Tour fantôme 3 : Empoisonnés, Taïchi et Tetsuo n’ont que quelques heures pour désigner une victime à abattre. Ils n’ont même pas à se salir les mains, il leur suffit juste de la désigner. Mais sous le vernis de cette apparente facilité se cache en réalité un piège retors du docteur Tesla. Trois vies valent-elles mieux qu’une seule ? Telle est la douloureuse réponse que doivent chercher Taïchi et Tetsuo s’ils veulent savoir ce qui est arrivé à Reiko dans la Tour fantôme.

 

Hotel : Ce recueil regroupe cinq récits écrits et dessinés par Boichi, voguant entre science-fiction et fantastique, et illustrant à merveille le talent du mangaka à jongler entre narration dramatique et humour. En cinq histoires courtes, Boichi y livre une démonstration de son talent tant narratif que graphique. Dans “Hotel”, nous découvrons un “directeur” surveillant depuis sa tour l'évolution de notre planète après la disparition de l'humanité. “Present” nous conte une belle et tragique histoire d’amour. “Rien que pour les thons” suit quant à lui l'étonnante carrière d'un biologiste prêt à sacrifier sa vie pour ressusciter les thons qui ont disparu de nos océans... Ces récits évoquent tout à la fois l'égoïsme individuel, l'irresponsabilité collective, le poids de la destinée, mais aussi la quête de liberté à laquelle aspire tout être humain. Ces éternelles interrogations hantent plus que jamais notre conscience, à plus forte raison lorsque notre espèce se retrouve confrontée aux conséquences engendrées par la croissance de notre civilisation, comme le réchauffement climatique ou le clonage artificiel.

 

Les Gouttes de Dieu 33 : Shizuku se trouve en Bourgogne, à la recherche du 10e apôtre, et bénéficie de l'aide précieuse de Koji Nakada. Il rencontre Renée, la fille d'un styliste japonais de renom installé en France et qui doit terminer à la place de son père malade un croquis de mode inspiré par les vins de Vosne-Romanée. Shizuku est d'autant plus désireux de l'aider qu'un des concurrents de la jeune femme, Alan Clair, le provoque en insultant Yutaka... De son côté, Tomine ayant tiré Elsa d'un mauvais pas, a obtenu son accord pour pratiquer dangereusement l'apnée en profondeur...

 

Kenshin – Restauration – 1 : Depuis 2012, Kenshin le vagabond a fait son grand retour, notamment par le biais du cinéma. L’auteur, Nobuhiro Watsuki, a profité de ce focus pour se replonger dans l’univers de sa série phare ! Reprenant le scénario proposé pour la version grand écran, il nous propose là un remake des premiers épisodes. Adepte des comics américains, il n’a eu aucun mal à prendre en main cet univers parallèle, replaçant les personnages au design retravaillé dans une intrigue complète en deux tomes. Sans oublier un croustillant “épisode zéro” qui vient compléter le volume... Ce diptyque ravira tout autant les fans que le néophyte en quête d’une valeur sûre à découvrir.

 

Woodstock 7 : Après Osaka, direction Hiroshima pour la suite de la première tournée de Charlie ! Mais la scène rock locale est à feu et à sang, Raido et ses punks se livrant une guerre contre les Slaps sur fond de drogues. Gaku et son groupe abandonneront-ils le rocker au grand cœur et à la grande gueule à son triste sort ?!

 

Kamikaze Kaito Jeanne 1 : Le secret de Maron, elle est la réincarnation de Jeanne d’Arc et grâce à l’aide de l’ange Fin, elle peut se transformer pour combattre les démons ! Sa passionnante carrière de justicière est menée sans encombre jusqu’à l’arrivée d’un rival répondant au nom de Sindbad.  La jeune fille ne tardera pas à découvrir le revers de la médaille…

 

Minimum 2 : Malgré son manque de sociabilité, Ito fait de son mieux pour aider la minuscule Haru à savoir d’où elle vient. Seulement,  son meilleur ami, Saito, ne voit pas d’un bon œil un tel rapprochement. Pourtant, c’est  une menace bien plus effrayante qui se profile dans la vie de nos héros, sous la forme d’une jeune fille aussi plantureuse que dangereuse…

 

Cagaster 1 : Fin du XXIe siècle, une étrange maladie baptisée “Cagaster” fait son apparition. Un humain sur mille est contaminé par ce mal qui le métamorphose en un monstrueux insecte anthropophage. Les deux tiers de l’humanité sont décimés… 2125, en plein milieu du désert, Kidow, exterminateur de génie, sauve la jeune Ilie d’une attaque de cagasters. Malgré les mystères qui entourent cette dernière, il décide de la protéger. Mais dans ce monde apocalyptique, les monstres ne sont pas forcément ceux qui ont en l’apparence…

 

Tokyo Ghoul 6 : Dans le 11e arrondissement, où vivait autrefois Lize, des goules se regroupent pour détruire le C.C.G… Ken, mis au courant de ce plan inquiétant par Banjo, est bientôt rejoint par d’autres goules du 11e, elles aussi en quête d’informations sur Lize… Quel est au final le véritable but de ce clan de goules qui se fait appeler “Aogiri” ?!

 

Gangsta 4 : Alors que le mystère concernant les massacres de crépusculaires reste entier, un nouveau meurtre fait resurgir le spectre de la chasse aux indexés. L’agence “Services en tous genres” est chargée de guider ces derniers vers un club géré par le clan Cristiano, transformé en refuge clandestin. Mais tandis qu’Alex fait face à une meute de non-modifiés assoiffés de sang, un tandem de tueurs aussi étranges que redoutables fait son apparition…

Vertical 5 : La montagne, un monde où coexistent danger et beauté. Sanpo Shimazaki en connaît les merveilles comme les malheurs qui accompagnent les accidents. Les alpinistes qui visitent les Alpes japonaises, où Sanpo travaille en tant que secouriste bénévole, ressentent la même attirance que lui pour la montagne.

 

Dragon Ball Z – Les films – Broly le super guerrier : Même si Son Goku est le guerrier le plus fort de l’univers, une ombre noire plane sur lui… Quel est le secret de la nouvelle planète Végéta ? Et quelles sont les véritables identités de Paragus et de son fils Broly ? Un combat d’une intensité qui dépasse l’imagination est sur le point de commencer !